Ma bio
Bienvenue dans mon univers.
Je m'appelle Aquilino NEVES, je suis artiste contemporain autodidacte.
J'ai toujours aimé les arts plastiques aussi loin que je me souvienne. Mes inspirations sont multiples, cubiste, impressionniste, surréaliste, et aujourd'hui l'art abstrait ou je glisse volontiers un peu de figuratif.
J'ai débuté la peinture en 1998, je m'étais inscrit au centre d'arts plastiques de ma ville, Aubervilliers...J'y suis resté trois ans.
J'ai eu la chance d'y rencontrer une personne importante pour moi, le peintre Jean-Jacques OSTIER.
Il travaillait sur le regard de l'autre, des animaux, en particulier les singes et le sentiment que l'on peut y percevoir. Puis sur les saisons et le temps qui passe...
J'ai suivi ses cours pendant ces trois années. Il nous enseigna, les techniques anciennes de préparation des supports, à base de colle de peau, ainsi que la peinture à la cire saponifiée.
Après une pause de 2007 à 2019, douze longues années, pendant lesquelles j'ai exercé mon métier de jardinier... Et oui pas toujours simple la vie...Mais je n'ai pas perdu de vue cette petite flamme. En fait ce n'était pas vraiment une pause, puisque j'ai toujours peins.
Depuis 2019, j'ai repris le chemin de l'atelier que je me suis créé chez moi.
Et me voilà, aujourd'hui, je suis toujours jardinier, mais par dessus tout je peins. Je m'applique à assembler les couleurs et les formes, afin de vous proposer des œuvres qui me ressemblent, et que vous apprécierez je l'espère.
Ma démarche.
Pour ma part elle est assez simple. Ma peinture se traduit par un lâcher prise, elle est le reflet de mes sentiments, de mes émotions du moments.
Souvent cela peut être confus au début, comme un écrivain devant sa page blanche, mais les couleurs font leur effet... Les couleurs je les associe pour vous offrir des œuvres harmonieuses.
La mise en route.
Une fois dans ma bulle, ça s'enchaine, les idées viennent s'ajouter les unes aux autres, le temps de séchage entre deux applications de peinture, est souvent un bon moyen de faire le point sur l'oeuvre. Ensuite, tout dépend de la progression, le plus difficile est de savoir s'arreter. de ne pas surcharger.